Voici oĂą nous en sommes
Or donc, j'ai publié quinze numéros de Sombre. Ouais, quinze. Me l'aurait-on dit en 2011, lorsque je travaillais sur le premier, que je ne l'aurais pas cru. Vache, ça commence à faire un paquet de zines ! Je me vautre dans mon autosatisfaction. J'ai mérité.
Mais ce n'est pas pour cela que j'écris ce message. Il fait suite à mon dernier feuilleton Sombre, celui que j'ai posté durant le confinement pour dire que le Covid n'était pas, doux euphémisme, une super nouvelle. Qu'en est-il aujourd'hui, tandis que la première vague est passée et que nous attendons la seconde ?
Je profite de ce répit sanitaire pour avancer dans mes playtests, et me prépare au pire (deux ans sans conventions) en espérant le meilleur (reprise courant 2021 dans des conditions un tant soit peu normales). Tous les auteurs/éditeurs indés en sont là , je pense.
Dans tout ce merdier, ma chance a été la communauté Sombre. C'est pour elle que j'écris ce post estival. Ces derniers mois, j'ai reçu force encouragements et soutiens de toutes natures. Des commandes d'anciens numéros, des abonnements à la revue et à ma page Tipeee, des coups de main divers et variés.
Cette solidarité, cette générosité me touchent profondément. Merci tout plein, les gars et les filles. Les prochains numéros de Sombre, ceux que je publierai à l'automne, vous sont dédiés.
Bonnes vacances et Ă tout bientĂ´t.
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RIP
+ L'acteur John Saxon est mort. Il fut, entre nombreux autres, Don Thompson dans la franchise Les Griffes de la nuit.
+ Le réalisateur Alan Parker est mort lui aussi. Sa filmo a fait mon adolescence, et Angel Heart est un pur chef-d'oeuvre.
+ Et également Wilford Brimley, qui a notamment joué dans The Thing (autre chef-d'oeuvre) et Remo, sans arme et dangereux (putain, j'adore ce film !).
Merci pour tout, messieurs.
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Deux Frankenstein sinon rien
photos Johan Scipion
Sur le forum de Sombre, Vivien a posté les comptes rendus détaillés de deux parties qu'il a menées dans Aliiive, le setting d'horreur gothique à thème Frankenstein publié dans Sombre HS5.
On les lit ici.
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On cause de Sombre dans les Internets
photo Johan Scipion
+ Sur le Grog, premières critiques de Sombre HS5 : http://www.legrog.org/jeux/sombre/sombre-hs-n-5-fr
+ Sur Imaginatech Daily, un avis général sur la gamme : https://imaginatechdaily.blogspot.com/2 … e-jeu.html
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BientĂ´t, ai-je dit
Cette fois encore, sortie simultanée de deux numéros, Sombre 10 et Sombre HS7. Deux zines pour le prix de deux. Sombre, des offres commerciales de fou malade !
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+ Pour précommander l'un et/ou l'autre, et les recevoir presque avant tout le monde, c'est-à -dire juste après les abonnés, voyez ici.
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À paraître sous peu
photo Johan Scipion
Chaque partie de Sombre, jeu de rôle pour se faire peur comme au cinéma, est un film d'horreur imaginaire dans lequel on joue des victimes. Fascicule format A5 de 72 pages, le dixième numéro de la revue Sombre est consacré à la teen horror.
Blurb
Après presque dix ans de publication, ne serait-il pas temps de donner un petit coup de jeune à Sombre ? Or justement, dix ans, c'est à peu près l'âge des protagonistes de Minimax, une variante de Sombre max pour jouer des préados dans des films d'horreur typés années 80. En gros, les Goonies rencontrent Jason. Chaud pour les kids, je ne vous le cache pas. Stranger Things si les bad guys étaient vraiment méchants et Eleven aux abonnés absents. Mieux encore, Ça de Stephen King si le clown ne retenait pas ses coups.
Hors les règles de base de Max, présentées dans Sombre 9, Minimax contient tout ce qu'il faut pour jouer. Un patch technique d'abord, essentiel pour adapter Max aux codes de la preteen horror. Pléthore d'aides de jeu ensuite, tout un tas de minicartes trop choupi. Et encore une demi-douzaine de settings forestiers, qui enrichissent les alentours de Lakewood, esquissés dans Sombre 8 avec Indian Lake. Enfin, une structure narrative et moult conseils pour semi improviser des parties qui aient de la gueule. Un peu perdu, besoin d'exemples concrets ? Pas de panique, deux comptes rendus de playtest vous permettront d'y voir plus clair.
Mais peut-être les PJ préadolescents ne sont-ils pas votre tasse de thé ? Vous préférez jouer des lycéens. De la trve teen horror, bon sang ! Ouijalloween, scénario clé en main pour Sombre zéro, est fait pour vous. Son pitch ? Des ados en mal de sensations fortes ont la brillante idée d'organiser une séance de ouija durant la nuit d'Halloween. Ils choisissent pour cela une maison abandonnée, qui plus est réputée hantée. Des génies.
Ce scénario a été pensé pour vous qui cherchez désespérément l'occasion de faire découvrir Sombre à vos amis rôlistes, qui ne jurent que par les donjons et les dragons. Savez-vous que la veille de la Toussaint est magique ? Cette nuit-là , l'horreur devient subitement cool. Les mêmes qui conchient le genre à longueur d'année sont les premiers à vouloir se déguiser en zombies. Profitez-en pour leur proposer un one-shot Sombre ambiance Halloween, vous serez pile dans le ton. Et si vous avez besoin d'un argument supplémentaire, dites-leur qu'on peut y jouer un chat.
Pour conclure ce numéro bien rempli, un setting urbain, accompagné de deux plans qui vont bien. Il s'agit d'un pavillon de banlieue américaine très soigneusement décrit. Il est le décor de Ouijalloween, et peut facilement servir de support à quickshot, ces parties improvisées sur la base d'un brainstorming des joueurs.
Sommaire détaillé
+ Setting : US4SQ
Un pavillon de banlieue américaine prêt à l’emploi.
+ Scénario : Ouijalloween
Spiritisme, teen drama et maison hantée pour Sombre zéro.
3 à 5 joueurs – 2 à 3 heures
+ Variante : Minimax
Un Max rikiki pour jouer des préados dans les années 80.
2 à 5 joueurs – 2 à 3 heures
+ Feedbacks Minimax : Darker Things 1
Deux comptes rendus de playtest à la table de l’auteur.
+ 8 pages d'aides de jeu
Commerce
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+ Pour le précommander et le recevoir presque avant tout le monde, c'est-à -dire juste après les abonnés, voyez ici.
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À paraître sous peu (également)
photo Johan Scipion
Chaque partie de Sombre, jeu de rôle pour se faire peur comme au cinéma, est un film d'horreur imaginaire dans lequel on joue des victimes. Fascicule A5 de 72 pages, le septième numéro hors-série de la revue Sombre est pour l'essentiel un recueil de comptes rendus, qui enrichit et complète Sombre 10.
Blurb
Pour commencer, deux quickshots se rapportant à Ouijalloween. Le premier est le récit de la démo dont j'ai tiré ce scénario. Il s'agit d'une improvisation particulièrement réussie durant une convention parisienne, l'éphémère RJDRA. Le second concerne lui aussi une impro, en cercle privé celle-là . Un playtest dans ma cuisine pour vérifier que US4SQ, le setting de Sombre 10, dans lequel se déroule Ouijalloween (vous suivez toujours ?), pouvait être exploité de manière indépendante. Le résultat est un croisement improbable entre Ma sorcière bien-aimée et Urotsukidoji. Oui je sais, il faut le lire pour le croire.
À suivre, les comptes rendus de quatre semi quickshots Minimax. L'ensemble de ces six récits (les quatre de HS7 + les deux de S10) éclairent la genèse de la variante, et montrent par l'exemple comment j'ai exploité chacun de ses settings.
Le numéro se termine par la seconde extension à The Darkly Dozen, ce fameux scénario Max au format cartes (pas) à collectionner. Elle enrichit le set de base, publié dans Sombre HS4, de huit nouvelles cartes de Profession. Vous rêviez d'aligner un ronin, un guérillero, un sniper, un instructeur ou un légionnaire dans votre équipe ? Tous sont dans Sombre HS7.
Sommaire détaillé
+ Feedbacks Zéro : Ouijalloween
Le quickshot à l’origine du scénario de Sombre 10.
+ Feedback Zéro : Dans ta cule
Une improvisation dans US4SQ, la maison de Sombre 10.
+ Feedbacks Minimax : Darker Things 2
Quatre playtests de la variante Max publiée dans Sombre 10.
+ Extension Max : The Darkly Dozen 3
8 nouvelles cartes pour le scénario de Sombre HS4.
+ 4 pages d'aides de jeu
Commerce
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Bon à tirer signé !
Les fichiers de Sombre 10 et de Sombre HS7 sont chez l'imprimeur. Pour recevoir ces numéros avant tout le monde, abonnez-vous. Pour précommander l'un et/ou l'autre, voyez ici.
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