https://www.flickr.com/photos/zapirain/
Oskar Zapirain photographie les arbres d'une forêt Basque servant autrefois à produire du charbon de bois...
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Dernière modification par DeathAmbre (22 Jun 2015 10:15)
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[Millevaux] Lee Jeffries plonge son objectif droit dans le regard des sans-abris.
Une source d'inspiration unique et ambiguë.
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[Millevaux] Des albums en écoute gratuite sur internet
Null & Void, par 0, du black metal dépressif cristallin et mélodique pour la plainte éternelle d'un corbeau dans la tempête.
Peacock Black, par 3rd Ear Expérience, du stoner rock instrumental et psychédélique, transe groovy au cœur de la folie.
Are their roots still alive ?, par 13 dead trees, du folk progressif mélancolique pour chansons de veillée et espoirs de forêts.
Supreme Immortal Art (instrumental), par Abigor, du black metal purement instrumental, pour une ambiance démoniaque, raffinée et épique !
Devotional Hymns, par Aderlating, du black metal indus / torture porn, pour scènes souterraines et messes noires au sein de temples païens.
Liminoid Lifeforms, par Aidan Baker, ambient, post-rock et orchestre de chambre pour une nuit sans lune, sans fin et sans but sous la caresse des branches.
Souvenirs d'un Autre Monde, par Alcest, l'élan vital du black metal dans une post-pop éthérée, ode vibrante à la nature et à l'enfance
White Hoarhound, par Alunah, un stoner doom metal à chant féminin scandé, celtique et druidique, une énergie entièrement dédiée à la forêt.
Mass V, par Amenra, post-hardcore incantatoire scandé en l'honneur du Dieu-Corbeau
The Dynamic Gallery of Thoughts, par ...and Oceans, du black metal orné de claviers de toutes parts, maléfique, mélodique et racé.
La Masquerade Infernale, par Arcturus, du métal avant-gardiste aux croisement entre black metal à chant clair, dark folk et rock progressif, porté par un chant clair en proie au délire grandiloquent, convent de sorciers, millénaire détraqué, nef des fous.
Slow Transcending Agony, par Ataraxie, du funeral doom metal lent comme l'asphyxie, profond comme les ténèbres, beau comme le désespoir.
Alunar, par Aureole, du black metal spatial instrumental pour châteaux abandonnés dans le vide.
Ridden with disease, par Autopsy, du death metal cradingue et sabbathique pour meutes de rednecks baveux
Tales from the Putrid Swamp, par Bear Browler, sludgecore aux saillies doom et thrash, avec un chant alcoolisé de Tom Waits vénère.
Black Goat of the Woods, par Black Moutain Transmitter, entre synthés à la Carpenter, musique de giallo et dark ambient, une promenade en forêt où la tension ne redescend jamais.
Summon, par Bloody Panda, messe noire, lyrique et drone, au pinacle de la nuit.
Ultima Thulee, par Blut aus Nord, du pagan metal riche en choeurs hallucinés et en claviers spectraux, odyssée fantômatique, guerriers égarés de plus en plus loin vers l'inconnu.
We are, we were and we will have been, par Bong, drone-ambient à sitar, englobant, rassurant, hypnotique, qui resserre son emprise de plus en plus doucement.
Beyond Ancient Space, par Bong, du psyché-drone ritualiste à sitar, cosmique, cultiste, massif, exotique, un Grand Ancien qui se mord la queue.
Altar, par Boris & SunnO))), le meilleur du drone, de la noise et de l'americana pour une transe rituelle et mélodique, entre climax de pyramide maudite et prières apaisées
La nuit, les charrues, par Brame, post-americana grinçante, rouillée et ensauvagée.
Migration, par Buried At Sea, un mare de goudron drone sludgecore qui se traîne lourdement à l'infini vers la mort.
Passion Rift, par Chowder, du doom metal progressif et instrumental, pour excursions lovecraftiennes en carton-pâte et cauchemars psychédéliques.
Corpo Mente, par Corpo Mente, entre opéra baroque et musique zeuhl, la bande-son d'un conte de Grimm macabre en perruque poudrée
Broken Glass, par Crowbar, le sludgecore à son niveau de lourdeur maximum, pour un prêche punitif contre toute forme de vie.
Salvation, par Cult of Luna, un chef-d'oeuvre du post-hardcore, hurlant, introspectif, mélodique, répétitif, infini, révolté, apaisé, marin, souterrain, un rituel de souffrance et d'extase devant la beauté du monde qui meurt.
Aleph At Hallucinatory Mountain, par Current 93, du rock / americana / dark folk au chant hypnotique et rêveur pour un enfoncement ésotérique et circulaire dans un monde occulte et alchimique très personnel.
My Firstborn Will Surely Be Blind, par Dead Raven Choir, du folk black metal guerrier mid-tempo, avec chant rauque et cuivres brûlants, pour une chevauchée céleste et catastrophique auprès du Roi-Chasseur.
Leprosy, par Death, du death metal des débuts, encore très rugueux mais déjà très technique, pour bastons décérébrées et invasions horlas !
Malkhut, par Dédale(s), un bourbier de dark ambient bruitiste et texturé, qui s'enfonce dans des territoires de plus en plus ténébreux, humides, caverneux, utérins, vers un abandon de soi et une transe horla habitées de gargouillis, de grognements et de chauves-souris toutes de malignité tressées.
Stellar, par Der Weg einer Freiheit (black metal spatial et guerrier cristallin)
Inns and Villages, par Derek & Brandon Fiechter, il en fallait un, voici un album entièrement dédié aux musiques de taverne !
Forest of Secrets, par Derek & Brandon Fiechter, voyages paisibles et pèlerinages enjoués dans une forêt lumineuse et féérique.
Une belle journée, par Nicolas Dick, de l'ambient riches en nappes, en bourdons et en élégies, un long assouplissement d'un seul et même monde dans son dernier soupir.
A Night in the Woods, par Dino Van Bedt, post-americana sans paroles, avec drone et field recordings, une traversée séminale et ténébreuse de la forêt de Millevaux. Composé spécialement pour Millevaux !
Marijuana, par Dope Smoker, du stoner rock sous substances et influences sabbathiques, lourd, enfumé, dédaigneux et baveux.
Drowning Horse, par Drowning Horse, du sludge doom psyché caverneux et incantatoire, au fin fond de la terre avec Shub-Niggurath.
A Bureaucratic Desire For Extra Capsular Extraction, par Earth, les touts premiers élans du drone, massif, répétitif, lysergique, chtonien.
Hex; Or Printing In The Infernal Method, par Earth (americana dronisante et instrumentale pour western sous acide)
Primitive and Deadly, par Earth, americana-psyché-drone, aventure sous mescal dans une nature hallucinée.
Emeralds, par Emeralds, de l'ambient très électronique toute en nappes et en texture, un voile fantomatique à traverser à l'infini.
In The Nightside Eclipse, par Emperor, du black metal symphonique de la nuit de 7ème lune, dans un chateau perdu dans les montagnes. Gorgé d'occultisme, de lycanthropie et de médiévisme.
Rutsu No Hoyo, par Empusae (dark ambient ritualiste)
Sphere from the woods, par Empusae, de l'ambient ritualiste pour un parcours animiste dans la forêt des rêves perdus.
Weiland, par Empyrium, du dark folk en noir et blanc, une sorte de moyen-âge fantasmé par les romantiques allemands, à la recherche d'une lumière dans la forêt.
Arpitanian Lands, par Enisum, du post-black metal des montagnes, animiste et sincère, qui n'oublie jamais d'être intense ou rauque
Des veines à l'eau creuse, par Enord, un dark-ambient drone avec des cuivres rituels, mantras caverneux et prières insectoïdes, marécageux et incantatoire
Tome X, par Erang (dungeon-synth, musique médiévale, dark folk pour un monde de châteaux et de chasses)
Temple of Ancients, par Erdstall (dungeon-synth pour explorations de donjons aussi ténébreux que nostalgiques).
Hydra Lernaïa, par Eryn Non Dae, du death-metal sludge progressif, la lourdeur et la complexité incarnée, pour une ultime et respectueuse démolition du corps, du monde et de l'esprit avant la fin des travaux.
The Maniacal Vale, par Esoteric, du doom metal avec chant caverneux et guitares cristallines, un cycle interminable de réincarnations morbides et sublimées.
Embrace The Emptiness, par Evoken, du funeral doom metal monolithique, aussi rêche que cristallin, une mise en matière du désespoir.
Maar, par The Evptoria Report, la face apaisée du post-rock, une traversée en douceur de couches et de couches de mélancolie et de rêves.
Owsla, par Fall of Efrafa, du post-hardcore en plein climax, la bataille désespérée de David contre Goliath
Poisse, par Fange, sludgecore to the root
Aokigahara, par Flowers for Bodysnatchers, dark ambient forestier à pianos fragiles
Frjee feather EP, par Forest Swords, un post-rock dub psyché et mazouté à souhait !
By the throat, par Ben Frost, dark ambient, néo-classique, musique concrète, dans la neige, encerclé par les loups, ou enfermé dans un abri avec son ennemi intime.
Violet Dreams, par John Gallow, du heavy doom metal aux relents très seventies, aussi sabbathique dans les riffs que dans la voix, pour tous ceux qui rêvent de messes noires, d'horreur gothique et de sword and sorcery sans le chant rauque qui va presque toujours avec.
Pentagon Black, par Goliath Bird Eater, du psyché-drone ritualiste assez facile d'écoute, une forêt de boucles en l'honneur de déités sourdes, aveugles et arachnoïdes.
Dead in the woods, par Grey Daturas, du stoner/sludge bruitiste, instrumental et chamanique, lourd, lent, rotatif, fuzzy, décérébré, jouissif, planant.
Streetcleaner, par Godflesh, entre indus et crust, la bande-son d'un film post-apocalyptique millénariste sans pitié.
Fallow Fields, par Harrow, au croisement entre Ennio Morriconne, le post-rock et le folk black metal, une épopée mélodique et lointaine.
Lashing the Rye, par Harvestman, americana dépressive, sur la superstition paysanne et la grandeur des espaces confinés.
From Mars to Sirius, par Gojira, du death metal moderne, épique et tellurique, une matière lourde, noire, blanche et cosmique qui vient tout écraser sur son passage. Avec majesté.
All The Dread Magnificence Of Perversity, par Gnaw Their Tongues, post-black metal, dark ambient sadien ou torture porn, cris de souffrance, d'imploration, satanisme sans compromis, machines qui broient.
Without Sinking, par Hildur Gudnadottir, goudron de violoncelles en dépression morbide.
S/T, par HKY, un post-hardcore lourd, noir, spatial, Ã fleur de peau : tristesse, abysse et goudron.
Cursus Impasse: The Pendlomic Vows, par Howls of Ebb, du post-death metal occulte, technique, varié en n'oubliant jamais de rester tendu, pour sabbats horlas déchaînés et massacres au fond des bois où l'on glisse sur les intestins répandus.
Open the Gates of Shambhala, par Huata, du stoner / doom / sludgecore / noise, pour une messe noire fumeuse et baveuse avec des tripes, de la drogue, du sexe et des morts-vivants !
Hugging the Earth, par Hugging, drone strident avec des infra-ondes de cordes, vaste caverne de cauchemars étroits.
~, par Iamthemorning, voix féminine, piano-cordes, le calme avant la tempête, et des noeuds de tempête au milieu du calme.
Zugzwang for Fostex, par Ian William Craig, de l'ambient bruitiste minimaliste avec un son qui part en miette, entre piano ethéré, rêve éveillé et voie ferrée abandonnée.
Fragment of Sirens, par Icos, du post-hardcore dans la plus grande tension entre lourdeur et mélodie, une âme en peine qui remonte de terre à n'en plus finir.
Den Hellige Skogs Hemmeligheter, par Im Dunkeln, un black metal païen de plus en plus atmosphérique et instrumental, tout ce qui reste des siècles après, les arbres et les mégalithes comme seuls témoins d'une époque de folie, où empires et hordes se détruisirent mutuellement.
s/t, par Jarboe & Helen Money, le chant féminin de Jarboe, aussi désincarné qu'omniprésent, le violon d'Helen Money, parfois fragile parfois massif, le chant et la blessure du cygne dans une seule élégie.
Heart Ache & Dethroned, par Jesu, du post-indus halluciné et déchirant, pour un parcours au coeur d'une vie désespérée.
Jex Thoth, par Jex Thoth, du stoner doom metal à chant féminin incantatoire, fumeux, charnel et entêtant, une messe de la fertilité.
Metsänkulkija, par Kalmankantaja, du black metal dépressif, épique et animiste, pour une chevauchée suicidaire au fond des bois.
Capture & Release, par Khanate, un drone sludgecore lent, criard, ensorcelé, misanthrope et désespéré. Nous ne sommes que du sang, c'est tout.
Chaos is my name, par Khlyst, du drone avec un chant féminin qui navigue entre l'extrême du rauque, du cri et du chuchotement, de la sorcellerie faite musique.
Terraformer, par Knut, du post-hardcore post-apocalyptique de bunker, aussi lointain et noisy que superbement produit et évocateur. Une dystopie en noir et blanc. Un trip aseptisé qui vous emporte trop loin dans les coursives, avec des compagnons seulement à moitié réels.
Hyperion, par Krallice, un black metal spatial et instrumental, lumineux, intense et habité.
Static Tensions, par Kylesa, metal, hardcore, punk, stoner, sludge, héroïque et vengeur, l'album de fer et de plomb pour la dernière des expéditions punitives
Evil Power, par Lair of the Minotaur, un death metal aussi technique bourrin et premier degré, pour corps-à -corps violents et boucheries chevalines !
Wandervogel des Waldes, par Lord Lovidicus, du dungeon-synth aux accents de folk médiéval, patient, nostalgique et atmosphérique.
Pigs of the Roman Empire, par Lustmord et les Melvins, entre dark ambient et sludge rock, une bande-son urbaine et décadente où la terre entière ressemble au New York de 1997.
Mare Decendrii, par Mamiffer, du piano / ambient / post-rock / noise à chant désincarné pour une mise en lumière de la désolation.
S/T, par Mammatus, du stoner rock heavy, référentiel et psychédélique, entre morceau de bravoure sword and sorcery et parcours initiatique à travers les mondes !
Be all and end all, par Manes, du death-rock / trip-hop glacé et souterrain, au fin fond des cavernes intimes et peuplées de nos fantômes les plus glacés et promiscuitaires.
Remission, par Mastodon, thrashcore progressif à l'assaut des horlas les plus dantesques
Morphogenesis, par Mind Necrosis Factor, electro-ambient oriental, voyage exotique au cœur de l'emprise.
Parasignosis, par Mitochondrion, du post-death metal occulte, rapide, technique, enfumé et caverneux, pour des lendemains de messe noire qui dégénèrent en avènement d'Entités Mythologiques.
Dioxydes, par Mlada Fronta, entre électro minimaliste et post-indus, une excursion hypnotique dans les cités et contrées fantômes désolées où toute vie a abdiqué.
Dead Men Tell No Tales, par Monarch, entre drone, extreme doom et sludgecore, une sorcière en proie à la possession, d'une lenteur à vous démembrer. Ne s'arrêtant que le temps d'un murmure de folie.
Arriving Angels, par Helen Money, du violoncelle amplifié, sombre, beau et doom à la fois, l'orée de la forêt entre légèreté et désespoir.
Dolmen Music, par Meredith Monk, chant soprano, chœurs masculins et orchestre de chambre pour une ode destructurée aux frontières de l'apaisement, de la folie et du paganisme.
Rays of Darkness, par Mono, du post-rock quintessenciel qui migre à fleur de peau du climax émo vers une noirceur screamo et un final noisy, la métaphore des graines de ténèbres où germent, éclosent, vibrent et meurent des êtres en perdition.
The finest day i ever lived, was when tomorrow never came, par Monolithian, à la croisée du sludge, du doom et du black metal, l'album de l'abysse éructante et stupide, mer de naphte et tête emplie des remugles de Shub-Niggurath.
The River EP, par MonumentuM, du coldwave scandé et transi, entre baptême païen et noyades répétitives.
The Ties that Blind, par Mouth of the Architect, jamais post-hardcore n'aura sonné plus épique, plus vaste et plus immortel.
Truth Becomes Death, par Nadja, chef d'œuvre du drone musical pour un parcours alchimique absolu, du plus léger au plus lourd.
Through Silver in Blood, par Neurosis, du post-hardcore crust, indus, celtique et tribal à la pointe de la rage et du désespoir, une incantation brûlante à la colère des puissances mythologiques et viscérales qui nous assaillent de l'intérieur comme de l'extérieur.
A Sun that never sets, par Neurosis, fournaise post-hardcore, mal-être total et illumination bestiale.
The Eye of Every Storm, par Neurosis, l'aboutissement du post-hardcore, le calme avant la tempête, un calme pachydermique, extatique, rugueux, sincère et terrifiant, un ours qui lèche ses blessures avant la mort, avant le dernier assaut.
A Given to the Rising, par Neurosis, du post-hardcore sludge et massif, le plus forestier des albums de Neurosis, une chasse morbide vers le secret de l'existence.
S/T, par Neurosis & Jarboe, post-hardcore avec l'inimitable chant féminin de Jarboe, tribal, sorcier, fantômatique, électronique, hanté, culpabilisé, onirique, poétique, violent, un détour par tous les états de la vie et de la mort.
Pyrrhula, par Nordvargr, entre dark ambient, drone et black art, au sein de cavernes vastes et profondes, au-delà du Temps, un environnement démesurément hostile.
IV, par Nors'Klh (dark ambient orchestral, black metal instrumental et torture porn).
La Haine Primordiale, par Nors'Klh, du dark ambient martial toute de fureur rentrée qui orchestralise la montée en puissance du mal.
Origine(s) part 1, par Nors'Klh (ambient orchestral, lyrique et exotique pour la décadence des grandes civilisations)
Of roots and flesh, par Northern Oak, un folk-pagan metal tout de cornemuse, de flûtes, de brames et de riffs hérissé.
Courses, par Ô Paon, de la post-pop désincarnée avec un chant féminin en français, juvénile, gracile, confinant à l'abstrait, histoires tristes, belles et sans fil de notre monde qui part à vau-l'eau.
Phillharmonics, par Agnes Obel, un piano-voix pour chanter les derniers et les plus fragiles des grands espaces, et les histoires minuscules qui s'y tapissent.
Eye-tree-Pi, par Obiat, du stoner metal à chant clair épique, mazouté et hallucinogène, guerrier et contemplatif à la fois, désertique et labyrinthiquement touffu.
Tribute to Krzysztof Penderecki: Passio et mors Domini nostri Jesu Christi secundum Lucam, par Of Darkness, la collision de la musique classique sacrée, du doom et du black metal pour un tableau infernal et hanté.
Dagian, par Old Forest, du black metal atmosphérique et forestier pour le souffle maudit des grands espaces.
Seminar III: Zozobra, par Old Man Gloom, du post-hardcore glauque, l'évasion des singes dans l'obscurité d'un laboratoire aux cages ouvertes, expériences, morsures, contamination, haine, vengeance.
Pilgrimage, par Om, du doom / folk à chant clair, ritualiste, mystique et cyclique, pour un séjour dans les dédales de la raison et de l'égrégore.
Geisterstadt, par Omega Massif, un post-rock lourd, triste et urbain pour une soirée de fin du monde dans une ville fantôme.
Open Tomb, par Open Tomb, du sludgecore down-tempo lourd, criard, suicidaire et jusqu'au-boutiste
My arms, your hearse, par Opeth, du death-doom metal atmosphérique et gothique, qui fusionne lourdeur et mélancolie, agression et mélodie, la peau et l'écorce, les larmes et l'acide.
Dreaming in earth, dissolving in light, par Oureboros, du dark-ambient/electro entre ombre et lumière, soleil vert et humidité.
Affliction, Endoctrine, Vertigo, par Overmars, du post-hardcore nihiliste, entre Tom Waits sous LSD et une crieuse de désespoir, entre rêve et cauchemar, entre la fleur et la lame.
Born Again, par Overmars, du post-hardcore / sludgecore / dark-ambient, la chute hurlante, puis les souterrains, royaume des ténèbres, de la souffrance et des bourreaux.
The silence in our throats will beckon the thaw, par Pelican, un album-monument de post-rock lesté de plomb et pourtant en perpétuelle ascension, un trip sous acide mystique.
Swarth, par Portal, du death metal occulte enfumé jusqu'à l'os, charriant le remugle, l'ombre méphitique, frénétique et baveuse de Shub-Niggurath en personne.
Pyramids, par Pyramids, du black metal étouffé avec un chant clair éthéré, étrange et déstabilisant.
Misanthropic Alchemy, par Ramesses, du stoner doom frontal et chimique pour bouillon de culture occulte !
Circular Time, par Ramleh, du post-rock / noise / americana / psyché-drone / power electronics chamanique et intense et circulaire et lourd et ensorcelé.
Exilé, par Regarde les Hommes Tomber, du metal noir / screamo qui dépeint la toile du Jugement Dernier.
Hidden Ascension, par Robedoor, drone vagissant du fond des profondeurs hantées par les anciens dieux.
Myrra, Mordvynn, Marayaa, par Rorcal (post-hardcore tellurique et baleiner, vingt mille lieues sous les mers et sous la terre)
Anro, par Sachiko, de la musique tribale ritualiste pour un trip chamanique qui commence mal et qui finit complètement de travers.
Refuse; Start Fires, par Scorn, dubstep sombre aux catalepsies jazzy, amas de tourbe noire de plus en plus englouti dans les marécages.
Imihs, par Shelving, post-rock aux influences kraut, une aventure au bout de la nuit, au bout des rêves, au bout des montagnes.
The Witch Hammer, par Shinjuku Thief, un dark ambient orchestral et gothique pour châteaux hantés, forêts maudites et spectres livides.
Stormcrowfleet, par Skepticism, doom metal chtonien pour Entités Mythologiques
Ordeal, par Skepticism, funeral doom metal orchestral pour angoisses abyssales et majestueuses.
Death, Pierce Me, par Silencer, du black metal dépressif avec un chant hurlé sorcier et dément, un voyage au bout de la nuit depuis le fond du gouffre.
Dopesmoker, par Sleep, un monument du stoner doom metal, caravane processionnaire des mangeurs de lotus au cœur d'un pèlerinage halluciné de lourdeur.
An Eternity of Solitude, par Sorrow Plagues, du black metal dépressif et shoegaze, avec un piano cristallin et un chant black éthéré et lointain, un souffle atmosphérique et forestier.
Steve Reich : Drumming, par So Percussion, une pièce de percussions sur une partition minimaliste, un parcours dans des villages, des maisons et des labyrinthes de bois circulaire, hypnotique, interminable.
Almost Invisible, par Subarachnoid Space, le pinacle du psyché-drone pour l'exploration infinie d'un temple sonique voué au dieu du mescal.
More Constant than the Gods, par Subrosa, un doom metal aux accents stoner et à la production claire, emmené par un chant féminin hypnotique, pour les soirs de tristesse et de batailles incantatoires, lourdes, narcotiques et triomphantes.
00Void, par SunnO))) (drone tellurique et terminal)
Black One, par SunnO))), du drone / post-black metal à écouter le corps dans l'humus, le visage contre l'écorce, le cœur dans la peur, l'album des débuts primordiaux de Millevaux.
Great Annihilator, par Swans, du post-punk / dark folk qui brosse le portrait d'une apocalypse aussi intime que globale.
Rampton, par Teeth of Lions Rule the Divine, du doom-drone haineux marqué par une batterie martiale et une fuite en avant vers le bruitisme, musique des fanatiques en robe noire, fascination pour la mort.
Self, par Terzij De Horde, post-black metal / screamo sur la rage de vivre et la perte totale de contrôle du moi.
The Pomegranate Cycle, par Textile Audio, un opéra intimiste et contemporain, série de vies croisées tragiques et quotidiennes, fragiles comme des biches, dont la nature est témoin.
Weighing souls with sand, par The Angelic Process, du black metal / shoegaze à chant clair, violent, beau et triste à la fois.
Conqueror, par The Gates of Slumber, du métal heavy, doom, stoner, épique pour une ambiance sword and sorcery à la fois sombre, batailleuse, occulte et sanguinolente !
Al-Azif, par The Great Old Ones, du post-black metal lovecraftien intense et mélodique, parfaite mise en horreur des Entités Mythologiques
Through Darkness and Light, par The Hourglass, du metal symphonique et électronique avec un chant féminin soprano irréprochable, pour climax épiques et montées en puissance héroïques.
Rising Of Yog-Sothoth : Tribute To Thergothon, une cohorte funeral doom en procession lente, baveuse et caverneuses vers les cryptes de la mort décérébrée et chtonienne.
II, par Toundra, post-rock épique et forestier.
Grote Mandrenke, par Troum, de l'ambient orchestral et drone, spectral, caverneux, infini et introspectif.
Symballein, par Troum, l'ambient drone d'un monde spectral, ou voix, atmosphères, terre et mer se confondent dans un flou lointain.
Snailking, par Ufomammut, du stoner doom metal, psychédélique, électro et bruitiste, une spirale de décantation dans les bras graisseux de l'infini Roi Ver.
Svidd Neger OST, par Ulver, du sympho-electro-jazz pour une longue conversation avec la nuit.
Rossz Csillag Alatt Született, par Venetian Snares, du drum and bass symphonique, musique pour combats épiques et post-Renaissance
The Black Flux, par Virus, entre black metal à chant clair sous zéro absolu, post-punk solidifié et jazz martial, une longue incantation nihiliste et raffinée qui traverse la moelle.
A Grave is a Grim Horse, par Steve Von Till, de l'americana forestière et résignée, les confessions d'un bûcheron perdu à jamais.
Screech Owl, par Wold, du black metal presque instrumental, drone et bruitiste, pour s'enfoncer dans un brouillard de plus en plus déchiré. Attention, la première piste est plus harsch que la suite.
Dwelling In A Dead Raven For The Glory Of Crucified Wolves, par Wolfmangler, du drone dark folk riche en cuivres et en chant sinistre, à la fois murmuré et grogné, pour une chasse funèbre entre chiens et loups.
Black Cascade, par Wolves in the Throne Room, black metal américain spatial, ambient, symphonique, pour une plongée épique et nostalgique dans les forêts du nord.
Celestite, par Wolves in the Throne Room, space ambient des explorations lointaines et terrifiantes à l'intérieur de soi-même et de la forêt.
Come the Thaw, par Worm Ouroboros, musique gothique avec guitares tantôt classiques tantôt doom, autour du chant fragile d'une biche qui n'en finit pas d'attendre le dégel.
Subliminal Genocide, par Xasthur, black metal dépressif et shoegaze, une peinture des limbes entre ciel et enfer qui se complait dans la souffrance, y trouve son lit et sa catharsis.
Ausserwelt, par Year of No Light, départ pour l'île des morts à bord d'un post-hardcore sans parole.
Carboniferous, par Zu, du math-rock jazzy et noisy, primitif, sauvage, insectoïde, frontal, instrumental.
Et aussi, des clips vidéo :
Berserk, par Euphonik (rap écorché, théâtre buto, emprise placentaire, lac et forêt immersive)
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[Millevaux] L'Afrique hallucinée de Fabrice Monteiro.
Des inspirations pour des personnages post-raciaux, notamment pour le théâtre Afromilval dans Inflorenza.
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[Millevaux] Nors'Klh : IV.
Organique, foisonnant, orchestral, malsain. Black metal, dark ambient, sympho, torture porn...
En un mot, habité, le dernier opus de l'entité sonore Nors'Klh est la bande sonore idéale pour les cauchemars forestiers de Millevaux.
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http://www.thisiscolossal.com/2015/11/c … olossal%29
"...the nearly 400 trees are widely agreed to have been shaped by human hands sometime in the 1930s, but for what purposes is still up for debate. Each tree is bent near the base at 90 degrees, a form that could possibly be helpful in boat or furniture making. Strangely enough, every tree is bent in exactly the same direction: due North. A quick search online reveals a host of conspiracy theories ranging from witchcraft to energy fields."
https://en.wikipedia.org/wiki/Crooked_Forest
"Others surmise that a snowstorm could have knocked the trees like this, but to date nobody knows what really happened to these pine trees."
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Je ne sais pas s'il a déjà été cité, mais j'ai eu du succès à la dernière partie avec "Celestite" de Wolves in the throne room.
Et je pioche souvent une poignée de titre bien angoissants chez le label Cryo Chamber.
en décomposition B
)))mon refuge(((
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