<![CDATA[Terres Etranges / Playlist L'Autoroute des Larmes]]> 2017-01-24T09:49:04Z FluxBB https://www.terresetranges.net/forums/viewtopic.php?id=892 <![CDATA[Réponse à : Playlist L'Autoroute des Larmes]]> Merci ! Je suis un grand fan de drone et autres musiques saturées, répétitives et lourdes, et ça me paraît un must-have pour sonoriser l'ambiance de Millevaux du moment qu'on a en face de soi des personnes assez ouvertes pour rentrer dans ce trip particulier. Mais tu sauras tout ce que j'ai à dire sur la musique en jeu de rôle à travers le recueil Musiques Sombres pour Jeux de Rôles Sombres et sa playlist associée.

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<![CDATA[Réponse à : Playlist L'Autoroute des Larmes]]> Buried at sea, Sunn o))) mmmmmm Mr a des bons goûts.

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<![CDATA[Playlist L'Autoroute des Larmes]]> [L'Autoroute des Larmes] Des albums en écoute gratuite sur internet :

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Null & Void, par 0, du black metal dépressif cristallin et mélodique pour la plainte éternelle d'un corbeau dans la tempête.

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Peacock Black, par 3rd Ear Expérience, du stoner rock instrumental et psychédélique, transe groovy au cœur de la folie.

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Are their roots still alive ?, par 13 dead trees, du folk progressif mélancolique pour chansons de veillée et espoirs de forêts.

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Diminution, par Leila Abdul-Rauf, un jazz de chambre lunaire, profond et unique pour des forêts hantées par des fantômes vides.

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Liminoid Lifeforms, par Aidan Baker, ambient, post-rock et orchestre de chambre pour une nuit sans lune, sans fin et sans but sous la caresse des branches.

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Souvenirs d'un Autre Monde, par Alcest, l'élan vital du black metal dans une post-pop éthérée, ode vibrante à la nature et à l'enfance.

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Mass V, par Amenra, post-hardcore incantatoire scandé en l'honneur du Dieu-Corbeau.

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Warrior, par Anilah, du chant féminin rituel et tribal inspiré des cultures natives d'Amérique du Nord. Apaisant et hypnotique.

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Planetary Confinement, par Antimatter. Jamais album acoustique au chant clair n'aura sonné si grave et si beau à la fois. Notre âme solitaire dans un monde laissé à l'abandon.

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Ridden with disease, par Autopsy, du death metal cradingue et sabbathique pour meutes de rednecks baveux

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Arrow and Orb, par Bad Braids, un chant féminin folk, intime et wiccan.

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Ancestral Star, par Barn Owl, de l’americana-drone des plus psychédéliques, pour un égarement lumineux dans les strates du monde.

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Tales from the Putrid Swamp, par Bear Browler, sludgecore aux saillies doom et thrash, avec un chant alcoolisé de Tom Waits vénère.

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Ardor, par Big Brave, un post-hardcore aux drones aussi profonds que mélodiques, avec un chant féminin rituel et poignant, pour se traîner jusqu’au bout de la nuit.

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Black Goat of the Woods, par Black Moutain Transmitter, entre synthés à la Carpenter, musique de giallo et dark ambient, une promenade en forêt où la tension ne redescend jamais.

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Feedbacker, par Boris, l’album de drone le plus larsenisé, le plus mélancolique et mélodique de tous les temps, pour une apocalypse blanche.

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Altar, par Boris & SunnO))), le meilleur du drone, de la noise et de l'americana pour une transe rituelle et mélodique, entre climax de pyramide maudite et prières apaisées

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La nuit, les charrues, par Brame, post-americana grinçante, rouillée et ensauvagée.

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Migration, par Buried At Sea, un mare de goudron drone sludgecore qui se traîne lourdement à l'infini vers la mort.

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Salvation, par Cult of Luna, un chef-d'oeuvre du post-hardcore, hurlant, introspectif, mélodique, répétitif, infini, révolté, apaisé, marin, souterrain, un rituel de souffrance et d'extase devant la beauté du monde qui meurt.

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Aleph At Hallucinatory Mountain, par Current 93, du rock / americana / dark folk au chant hypnotique et rêveur pour un enfoncement ésotérique et circulaire dans un monde occulte et alchimique très personnel.

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Malkhut, par Dédale(s), un bourbier de dark ambient bruitiste et texturé, qui s'enfonce dans des territoires de plus en plus ténébreux, humides, caverneux, utérins, vers un abandon de soi et une transe horla habitées de gargouillis, de grognements et de chauves-souris toutes de malignité tressées.

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A Night in the Woods, par Dino Van Bedt, post-americana sans paroles, avec drone et field recordings, une traversée séminale et ténébreuse de la forêt de Millevaux. Composé spécialement pour Millevaux !

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Abomination, par Divide and Dissolve. Du drone pour donner une voix aux natifs dont la culture est effacée, dénaturée.

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Marijuana, par Dope Smoker, du stoner rock sous substances et influences sabbathiques, lourd, enfumé, dédaigneux et baveux.

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Forest Echo, par Doron, un dark ambient tout en drones et en bruits blancs, peinture de la désolation sauvage. 

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Daymare, par Doron. Un road-trip crépusculaire dans le brouillard pour ce dark ambient tout en nappes, digne des polars contemporains les plus glauques, où la totalité de l’environnement vous menace.

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The Sachem’s Tale par Dzö-nga, du folk black metal inspiré du folklore autochtone nord-américain (tribu des algonquins) alternant chant féminin éthéré et hurlé : la fragilité et la sauvagerie de la nature en plein conflit.

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Hex; Or Printing In The Infernal Method, par Earth (americana dronisante et instrumentale pour western sous acide)

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Primitive and Deadly, par Earth, americana-psyché-drone, aventure sous mescal dans une nature hallucinée.

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Sphere from the woods, par Empusae, de l'ambient ritualiste pour un parcours animiste dans la forêt des rêves perdus.

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Des veines à l'eau creuse, par Enord, un dark-ambient drone avec des cuivres rituels, mantras caverneux et prières insectoïdes, marécageux et incantatoire

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Embrace The Emptiness, par Evoken, du funeral doom metal monolithique, aussi rêche que cristallin, une mise en matière du désespoir.

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Maar, par The Evptoria Report, la face apaisée du post-rock, une traversée en douceur de couches et de couches de mélancolie et de rêves.

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Owsla, par Fall of Efrafa, du post-hardcore en plein climax, la bataille désespérée de David contre Goliath

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Aokigahara, par Flowers for Bodysnatchers, dark ambient forestier à pianos fragiles

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Frjee feather EP, par Forest Swords, un post-rock dub psyché et mazouté à souhait !

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By the throat, par Ben Frost, dark ambient, néo-classique, musique concrète, dans la neige, encerclé par les loups, ou enfermé dans un abri avec son ennemi intime.

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Death will someday set you free, par Ghostly Graves, du folk occulte pour western fantôme.

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Pentagon Black, par Goliath Bird Eater, du psyché-drone ritualiste assez facile d'écoute, une forêt de boucles en l'honneur de déités sourdes, aveugles et arachnoïdes.

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Dead in the woods, par Grey Daturas, du stoner/sludge bruitiste, instrumental et chamanique, lourd, lent, rotatif, fuzzy, décérébré, jouissif, planant.

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Lashing the Rye, par Harvestman, americana dépressive, sur la superstition paysanne et la grandeur des espaces confinés.

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All The Dread Magnificence Of Perversity, par Gnaw Their Tongues, post-black metal, dark ambient sadien ou torture porn, cris de souffrance, d'imploration, satanisme sans compromis, machines qui broient.

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S/T, par HKY, un post-hardcore lourd, noir, spatial, à fleur de peau : tristesse, abysse et goudron.

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Hugging the Earth, par Hugging, drone strident avec des infra-ondes de cordes, vaste caverne de cauchemars étroits.

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Zugzwang for Fostex, par Ian William Craig, de l'ambient bruitiste minimaliste avec un son qui part en miette, entre piano ethéré, rêve éveillé et voie ferrée abandonnée.

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Fragment of Sirens, par Icos, du post-hardcore dans la plus grande tension entre lourdeur et mélodie, une âme en peine qui remonte de terre à n'en plus finir.

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Heart Ache & Dethroned, par Jesu, du post-indus halluciné et déchirant, pour un parcours au coeur d'une vie désespérée.

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Jex Thoth, par Jex Thoth, du stoner doom metal à chant féminin incantatoire, fumeux, charnel et entêtant, une messe de la fertilité.

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Lost Chants / Last Chance, par Kandodo McBrain, un morceau de bravoure total en matière de rock psychédélique / acid western instrumental, la plus lysergique des soupes primitives.

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X Marks the Swirl, par Kim Mortal, une mélopée trip-hop revendicative et virtuose, à la fois poignante et chill, en provenance de Vancouver, inspirée des mouvements queer et des mouvements pour les droits des indigènes.

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Lisieux, par Lisieux, du néo-folk, une guitare entêtante, un chant féminin vaporeux, la forêt qui se referme sur elle. Bienveillante... ou non ?

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Mare Decendrii, par Mamiffer, du piano / ambient / post-rock / noise à chant désincarné pour une mise en lumière de la désolation.

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Be all and end all, par Manes, du death-rock / trip-hop glacé et souterrain, au fin fond des cavernes intimes et peuplées de nos fantômes les plus glacés et promiscuitaires.

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Landscape of Descent, par David D. McIntire, du drone ambient entre caverne, pluie et bois, la musique intime de la forêt.

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Dioxydes, par Mlada Fronta, entre électro minimaliste et post-indus, une excursion hypnotique dans les cités et contrées fantômes désolées où toute vie a abdiqué.

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Arriving Angels, par Helen Money, du violoncelle amplifié, sombre, beau et doom à la fois, l'orée de la forêt entre légèreté et désespoir.

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Rays of Darkness, par Mono, du post-rock quintessenciel qui migre à fleur de peau du climax émo vers une noirceur screamo et un final noisy, la métaphore des graines de ténèbres où germent, éclosent, vibrent et meurent des êtres en perdition.

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The River EP, par MonumentuM, du coldwave scandé et transi, entre baptême païen et noyades répétitives.

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Truth Becomes Death, par Nadja, chef d'œuvre du drone musical pour un parcours alchimique absolu, du plus léger au plus lourd.

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Through Silver in Blood, par Neurosis, du post-hardcore crust, indus, celtique et tribal à la pointe de la rage et du désespoir, une incantation brûlante à la colère des puissances mythologiques et viscérales qui nous assaillent de l'intérieur comme de l'extérieur.

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A Sun that never sets, par Neurosis, fournaise post-hardcore, mal-être total et illumination bestiale.

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The Eye of Every Storm, par Neurosis, l'aboutissement du post-hardcore, le calme avant la tempête, un calme pachydermique, extatique, rugueux, sincère et terrifiant, un ours qui lèche ses blessures avant la mort, avant le dernier assaut.

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A Given to the Rising, par Neurosis, du post-hardcore sludge et massif, le plus forestier des albums de Neurosis, une chasse morbide vers le secret de l'existence.

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S/T, par Neurosis & Jarboe, post-hardcore avec l'inimitable chant féminin de Jarboe, tribal, sorcier, fantômatique, électronique, hanté, culpabilisé, onirique, poétique, violent, un détour par tous les états de la vie et de la mort.

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Pyrrhula, par Nordvargr, entre dark ambient, drone et black art, au sein de cavernes vastes et profondes, au-delà du Temps, un environnement démesurément hostile.

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What has become of the one i love ?, par Not, du post-americana lunaire et lo-fi pour un feu de camp introspectif à l'infini.

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Thul Ogka, par Nox, entre musique traditionnelle et black metal, une longue séance de magie noire iroquoise jusqu’aux frontières de la réalité.

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Courses, par Ô Paon, de la post-pop désincarnée avec un chant féminin en français, juvénile, gracile, confinant à l'abstrait, histoires tristes, belles et sans fil de notre monde qui part à vau-l'eau.

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Geisterstadt, par Omega Massif, un post-rock lourd, triste et urbain pour une soirée de fin du monde dans une ville fantôme.

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My arms, your hearse, par Opeth, du death-doom metal atmosphérique et gothique, qui fusionne lourdeur et mélancolie, agression et mélodie, la peau et l'écorce, les larmes et l'acide.

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Dreaming in earth, dissolving in light, par Oureboros, du dark-ambient/electro entre ombre et lumière, soleil vert et humidité.

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The silence in our throats will beckon the thaw, par Pelican, un album-monument de post-rock lesté de plomb et pourtant en perpétuelle ascension, un trip sous acide mystique.

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La imposibilidad de tu nombre, par Peregrino, la dernière ligne de piano quand tout s'arrête.

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A Sigur Rós tribute, par Project Múkk, un instant de grâce entre folk, electro et post-rock.

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Circular Time, par Ramleh, du post-rock / noise / americana / psyché-drone / power electronics chamanique et intense et circulaire et lourd et ensorcelé.

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Hidden Ascension, par Robedoor, drone vagissant du fond des profondeurs hantées par les anciens dieux.

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Anro, par Sachiko, de la musique tribale ritualiste pour un trip chamanique qui commence mal et qui finit complètement de travers.

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Refuse; Start Fires, par Scorn, dubstep sombre aux catalepsies jazzy, amas de tourbe noire de plus en plus englouti dans les marécages.

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Imihs, par Shelving, post-rock aux influences kraut, une aventure au bout de la nuit, au bout des rêves, au bout des montagnes.

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Tristan Perish : Surface Plane, par Vicky Show : du piano minimaliste et funambule, comme une araignée sur la rosée.

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Bells, par Hiroki Sasajima, de l'ambient pour feu de camp, confidences et rêves éveillés, à base de bourdons et de field recordings, au final intersidéral.

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Death, Pierce Me, par Silencer, du black metal dépressif avec un chant hurlé sorcier et dément, un voyage au bout de la nuit depuis le fond du gouffre.

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Trapline, par Snotty Nose Rez Kids, du hip-hop rageur, narquois et animiste par deux natifs en direct de Vancouver, Colombie Brittanique.

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An Eternity of Solitude, par Sorrow Plagues, du black metal dépressif et shoegaze, avec un piano cristallin et un chant black éthéré et lointain, un souffle atmosphérique et forestier.

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Almost Invisible, par Subarachnoid Space, le pinacle du psyché-drone pour l'exploration infinie d'un temple sonique voué au dieu du mescal.

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More Constant than the Gods, par Subrosa, un doom metal aux accents stoner et à la production claire, emmené par un chant féminin hypnotique, pour les soirs de tristesse et de batailles incantatoires, lourdes, narcotiques et triomphantes.

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Great Annihilator, par Swans, du post-punk / dark folk qui brosse le portrait d'une apocalypse aussi intime que globale.

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Auk / Blood par Tanya Tagaq, entre chant inuit chamanique revisité et violons à fleur de peau, entre l’émerveillement et la terreur.

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Self, par Terzij De Horde, post-black metal / screamo sur la rage de vivre et la perte totale de contrôle du moi.

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Weighing souls with sand, par The Angelic Process, du black metal / shoegaze à chant clair, violent, beau et triste à la fois.

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Concrete Desert, une collaboration entre The Bug et Earth, deux monuments, l’un du dubstep, l’autre du drone sudiste, pour un morceau de bravoure en matière de lourdeur, d’atmosphère et de musicalité, pourriture noire, décadence urbaine, pression chthonienne et tout le toutim.

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Silent Shout, par The Knife, de la musique électro-dance vénéneuse et noire sur le parcours urbain des filles perdues.

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II, par Toundra, post-rock épique et forestier.

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Grote Mandrenke, par Troum, de l'ambient orchestral et drone, spectral, caverneux, infini et introspectif.

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Svidd Neger OST, par Ulver, du sympho-electro-jazz pour une longue conversation avec la nuit.

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A Grave is a Grim Horse, par Steve Von Till, de l'americana forestière et résignée, les confessions d'un bûcheron perdu à jamais.

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Eating or Vomiting Its Tail, par Johan G. Winther, entre power electronics, drone et americana, de plus en plus loin en perdition volontaire parmi les arbres, en communion avec les esprits et les monstres, les cycles se répètent.

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Abyss, par Chelsea Wolfe, du dark folk gothique embaumé d’electro, avec un chant féminin sorcier qui nous emmène loin dans les ténèbres, la souffrance et la beauté.

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Dwelling In A Dead Raven For The Glory Of Crucified Wolves, par Wolfmangler, du drone dark folk riche en cuivres et en chant sinistre, à la fois murmuré et grogné, pour une chasse funèbre entre chiens et loups.

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Black Cascade, par Wolves in the Throne Room, black metal américain spatial, ambient, symphonique, pour une plongée épique et nostalgique dans les forêts du nord.

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Celestite, par Wolves in the Throne Room, space ambient des explorations lointaines et terrifiantes à l'intérieur de soi-même et de la forêt.

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Come the Thaw, par Worm Ouroboros, musique gothique avec guitares tantôt classiques tantôt doom, autour du chant fragile d'une biche qui n'en finit pas d'attendre le dégel.

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